jdshgjsdhjgsjdfhgsfhdjghsdhgjhjsdfhgjhksdjfhgjhsdjghjdshgkjhsfjdhgjshdjghjshgjhdsjghjsdhgjhsdjg
Rencontre il y a quelques années en Bretagne par un cercle d’amis communs. Emilie évolue alors essentiellement dans le monde du théâtre, comédienne, auteure et metteur en scène. Et puis il y a deux ans le virus de la musique fait des siennes. Armée d’une guitare, d’une basse et de sa voix, elle commence à enregistrer des idées, des chansons basées sur un travail de loops. Elle construit un univers bien à elle. Et aujourd’hui, le fruit de son travail ? Un album riche, minimal, entêtant, sombre, marécageux ou la voix flotte, tour à tour, diaphane, souterraine, tapageuse sur un tapis de guitares sauvageonnes, sur des basses retordes et des rythmiques tranchantes. Autour de ce monde d’étrangeté, des synthés au textures brumeuses s’invitent à la fête, comme des ombres folles pour une danse d’un jour nouveau.
Question de co-production. Un travail en deux temps, riche d’enseignements. L’idée en est la suivante : je mixe l’album In The Box (dans l’ordi) avec pour seules armes des plugins ; je fais des stems (par exemple un groupe batterie, un groupe basse…) et Yann Tiersen, réalisateur de l’album, récupère le tout pour y apporter sa touche personnelle et peaufiner le mixage en analogique… la rencontre de deux mondes… juste pour le meilleur.
Le clip de Choke My Sorrow